UN SEUL PAS
Est-il possible d'aimer réellement le Seigneur, d'avoir un cœur pour Dieu, de passer du temps et de donner son argent pour Son œuvre, de mettre Dieu en premier, de Lui dédier sa vie, et pourtant de garder des zones de désobéissance à Sa Parole ?
De tout son cœur, Salomon souhaitait avoir la sagesse et le discernement divin pour pouvoir faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal. Dieu lui est apparu en rêve et lui a dit : “Demande ce que tu veux que je te donne” (1 Rois 3:5). Salomon a reçu un “cœur attentif pour ... discerner le bien du mal” (1 Rois 3:9). Mais Dieu a ajouté cet avertissement : “Et si tu marches dans mes voies, en observant mes prescriptions et mes commandements, comme a marché ton père David, je prolongerai tes jours” (1 Rois 3:14). Salomon a entendu une prédication puissante venant de Dieu Lui-même ! Il avait les prédications de son père David qui résonnaient encore à ses oreilles, de même que l'exemple du péché de son père et le jugement qui en avait découlé. Il avait la loi et les Juges, y compris Déborah, Samuel et le prophète Nathan. David l'a averti : “Observe l’ordre de l’Éternel, ton Dieu, en marchant dans ses voies et en gardant ses prescriptions, ses commandements, ses ordonnances et ses préceptes, selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse” (1 Rois 2:3).
Salomon connaissait la Parole. Suite à ce que Dieu lui a révélé, il a écrit plus d'un millier de chants et de trois milles proverbes ! Dans ses proverbes, il met en garde contre la puissance du Diable et contre les femmes étrangères : “Mais à la fin elle est amère comme l’absinthe, Aiguë comme une épée à deux tranchants. Ses pieds descendent vers la mort, Ses pas atteignent le séjour des morts” (Proverbes 5:4-5). Oh, à quel point il connaissait bien la Parole ! Combien il était bon pour la prêcher aux autres. Des dirigeants du monde entier venaient le consulter. Mais, aussi sage, rempli de discernement et béni par Dieu qu'il ait été, il gardait tout de même des zones de désobéissance dans sa vie.
Salomon a fait un seul pas de désobéissance qui l'a finalement transformé en un homme endurci, résistant à la prédication, conduit par la convoitise. Il a considéré cela comme une petite chose, quand il a pris la femme de Pharaon comme femme. Pour lui, il ne s'agissait que d'un mariage de convenance. “Il prit pour femme la fille du Pharaon et il l’amena dans la cité de David” (1 Rois 3:1). Elle était la femme étrangère contre laquelle Salomon mettait en garde dans ses proverbes, la femme dont la porte conduit au séjour des morts ! La fille de pharaon représente ce petit lien qui nous attache encore à une chose de ce monde, un seul péché installé que nous n'avons pas abandonné, ce seul compromis qui nous semble toujours être justifié !
De tout son cœur, Salomon souhaitait avoir la sagesse et le discernement divin pour pouvoir faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal. Dieu lui est apparu en rêve et lui a dit : “Demande ce que tu veux que je te donne” (1 Rois 3:5). Salomon a reçu un “cœur attentif pour ... discerner le bien du mal” (1 Rois 3:9). Mais Dieu a ajouté cet avertissement : “Et si tu marches dans mes voies, en observant mes prescriptions et mes commandements, comme a marché ton père David, je prolongerai tes jours” (1 Rois 3:14). Salomon a entendu une prédication puissante venant de Dieu Lui-même ! Il avait les prédications de son père David qui résonnaient encore à ses oreilles, de même que l'exemple du péché de son père et le jugement qui en avait découlé. Il avait la loi et les Juges, y compris Déborah, Samuel et le prophète Nathan. David l'a averti : “Observe l’ordre de l’Éternel, ton Dieu, en marchant dans ses voies et en gardant ses prescriptions, ses commandements, ses ordonnances et ses préceptes, selon ce qui est écrit dans la loi de Moïse” (1 Rois 2:3).
Salomon connaissait la Parole. Suite à ce que Dieu lui a révélé, il a écrit plus d'un millier de chants et de trois milles proverbes ! Dans ses proverbes, il met en garde contre la puissance du Diable et contre les femmes étrangères : “Mais à la fin elle est amère comme l’absinthe, Aiguë comme une épée à deux tranchants. Ses pieds descendent vers la mort, Ses pas atteignent le séjour des morts” (Proverbes 5:4-5). Oh, à quel point il connaissait bien la Parole ! Combien il était bon pour la prêcher aux autres. Des dirigeants du monde entier venaient le consulter. Mais, aussi sage, rempli de discernement et béni par Dieu qu'il ait été, il gardait tout de même des zones de désobéissance dans sa vie.
Salomon a fait un seul pas de désobéissance qui l'a finalement transformé en un homme endurci, résistant à la prédication, conduit par la convoitise. Il a considéré cela comme une petite chose, quand il a pris la femme de Pharaon comme femme. Pour lui, il ne s'agissait que d'un mariage de convenance. “Il prit pour femme la fille du Pharaon et il l’amena dans la cité de David” (1 Rois 3:1). Elle était la femme étrangère contre laquelle Salomon mettait en garde dans ses proverbes, la femme dont la porte conduit au séjour des morts ! La fille de pharaon représente ce petit lien qui nous attache encore à une chose de ce monde, un seul péché installé que nous n'avons pas abandonné, ce seul compromis qui nous semble toujours être justifié !