LA FOI PASSIVE by Gary Wilkerson
Abram a été appelé par Dieu à quitter sa maison, sa patrie, son père, sa mère, son éducation, son héritage, bref, à tout quitter et aller dans un endroit où Dieu le conduirait (Genèse 12).
Quelle foi ! Cela demande une foi incroyable de tout laisser derrière soi et de répondre immédiatement, de tout son cœur aux paroles que l’on entend dans son cœur, qu’il s’agisse d’une voix audible ou d’une voix intérieure.
Donc Abram partit et prit avec lui son jeune neveu appelé Lot.
« Abram dit à Lot : Qu'il n'y ait point, je te prie, de dispute entre moi et toi, ni entre mes bergers et tes bergers ; car nous sommes frères. Tout le pays n'est-il pas devant toi ? Sépare-toi donc de moi : si tu vas à gauche, j'irai à droite ; si tu vas à droite, j'irai à gauche » (Genèse 13 : 8-9).
Abram usait de ce que j’appelle une foi passive. Je ne veux pas dire passive dans le sens « je m’en moque » ou « que serra, serra, ce qui doit arriver arrivera ». Ce genre de foi passive dit que tu ne vas pas agir de ton propre chef. Tu ne vas pas essayer de faire que les choses arrivent par la volonté de l’homme. Tu vas permettre à Dieu d’orchestrer les événements de ta vie de façon à ce que Sa volonté s’accomplisse.
Il y a des moments où nous avons besoin d’avoir ce type de foi passive, quand il n’y a rien d’autre que nous ne puissions faire à part dire : « Dieu, que ta volonté soit faite, non la mienne. »
La foi passive considère les situations qui semblent impossibles et dit : « Dieu, je ne sais pas comment ça va se passer. Je ne sais pas comment les difficultés et les problèmes que je rencontre vont jamais pouvoir se résoudre, mais je mets ma confiance en toi. »
Abram avait cette confiance que Dieu recherchait le meilleur pour lui, confiance dans le fait que Dieu savait mieux que lui ce qu’il y avait de meilleur pour lui.
Abram ne s’est pas juste reposé dans le Seigneur mais il avait confiance dans le fait que Dieu allait prendre la bonne décision pour lui.
Quelle foi ! Cela demande une foi incroyable de tout laisser derrière soi et de répondre immédiatement, de tout son cœur aux paroles que l’on entend dans son cœur, qu’il s’agisse d’une voix audible ou d’une voix intérieure.
Donc Abram partit et prit avec lui son jeune neveu appelé Lot.
« Abram dit à Lot : Qu'il n'y ait point, je te prie, de dispute entre moi et toi, ni entre mes bergers et tes bergers ; car nous sommes frères. Tout le pays n'est-il pas devant toi ? Sépare-toi donc de moi : si tu vas à gauche, j'irai à droite ; si tu vas à droite, j'irai à gauche » (Genèse 13 : 8-9).
Abram usait de ce que j’appelle une foi passive. Je ne veux pas dire passive dans le sens « je m’en moque » ou « que serra, serra, ce qui doit arriver arrivera ». Ce genre de foi passive dit que tu ne vas pas agir de ton propre chef. Tu ne vas pas essayer de faire que les choses arrivent par la volonté de l’homme. Tu vas permettre à Dieu d’orchestrer les événements de ta vie de façon à ce que Sa volonté s’accomplisse.
Il y a des moments où nous avons besoin d’avoir ce type de foi passive, quand il n’y a rien d’autre que nous ne puissions faire à part dire : « Dieu, que ta volonté soit faite, non la mienne. »
La foi passive considère les situations qui semblent impossibles et dit : « Dieu, je ne sais pas comment ça va se passer. Je ne sais pas comment les difficultés et les problèmes que je rencontre vont jamais pouvoir se résoudre, mais je mets ma confiance en toi. »
Abram avait cette confiance que Dieu recherchait le meilleur pour lui, confiance dans le fait que Dieu savait mieux que lui ce qu’il y avait de meilleur pour lui.
Abram ne s’est pas juste reposé dans le Seigneur mais il avait confiance dans le fait que Dieu allait prendre la bonne décision pour lui.