SACHEZ-LE BIEN
Quand Jésus utilise l’expression “Sachez-le bien” dans Matthieu 24:43, Il nous dit : “Surtout, n’ignorez pas ces paroles.” Ensuite, Il nous donne l’affirmation suivante : “Mais, si c’est un méchant serviteur, qui dise en lui-même : Mon maître tarde à venir, s’il se met à battre ses compagnons, s’il mange et boit avec les ivrognes” (Matthieu 24:48-49).
Luc 12 identifie ce serviteur comme étant le même que celui qui, un temps, a servi la “nourriture au temps convenable” (Luc 12:42). Ce serviteur a commencé en faisant bien les choses et il était destiné à être récompensé en devenant le gérant des biens du Seigneur. Mais ensuite, il a dramatiquement changé. On le trouve en train de battre ceux qui sont autour de lui et de s’enivrer avec les ivrognes.
Quelque chose s’est passé dans le cœur de ce serviteur – un changement peut-être invisible, mais qui a affecté son attitude. Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui a changé ? Jésus nous dit qu’il s’est dit en lui-même : “Mon maître tarde à venir”.
Le terme grec utilisé pour battre dans le verset 49 suggère des coups répétés. En d’autres termes, ce serviteur est devenu hypocrite. Je l’imagine comme étant quelqu’un qui provoque sa femme, qui jure, qui écoute des histoires salaces, des commérages. Comment en est-il arrivé là ? Il s’est convaincu que son maître n’était pas près de revenir. Quand il parle de son maître, il parle d’un maître complètement différent de celui qu’est réellement le Seigneur. Il s’est fabriqué un Jésus à son image, un Christ d’un autre évangile.
Ce type de serviteur ne prêche pas au sujet de son changement d’attitude. Ce changement a plutôt pris place dans sa façon de penser. Il n’a pas besoin de diffuser sa croyance d’un délai dans le retour du Maître. Il vit simplement selon cette croyance et c’est ce qui fait toute la différence.
Ne te demandes-tu pas pourquoi tant d’églises aujourd’hui sont remplies de gens mal préparés, indulgents envers le péché et recherchant leur propres plaisirs ? Ne te demandes-tu pas pourquoi tant de couples chrétiens divorcent à la plus petite provocation ? Ce n’est pas parce que leurs pasteurs leur enseignent à vivre de cette manière. Non, c’est parce que de nombreux bergers ne croient pas que Christ revient dans leur génération. Et le peuple suit simplement le berger.
Luc 12 identifie ce serviteur comme étant le même que celui qui, un temps, a servi la “nourriture au temps convenable” (Luc 12:42). Ce serviteur a commencé en faisant bien les choses et il était destiné à être récompensé en devenant le gérant des biens du Seigneur. Mais ensuite, il a dramatiquement changé. On le trouve en train de battre ceux qui sont autour de lui et de s’enivrer avec les ivrognes.
Quelque chose s’est passé dans le cœur de ce serviteur – un changement peut-être invisible, mais qui a affecté son attitude. Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui a changé ? Jésus nous dit qu’il s’est dit en lui-même : “Mon maître tarde à venir”.
Le terme grec utilisé pour battre dans le verset 49 suggère des coups répétés. En d’autres termes, ce serviteur est devenu hypocrite. Je l’imagine comme étant quelqu’un qui provoque sa femme, qui jure, qui écoute des histoires salaces, des commérages. Comment en est-il arrivé là ? Il s’est convaincu que son maître n’était pas près de revenir. Quand il parle de son maître, il parle d’un maître complètement différent de celui qu’est réellement le Seigneur. Il s’est fabriqué un Jésus à son image, un Christ d’un autre évangile.
Ce type de serviteur ne prêche pas au sujet de son changement d’attitude. Ce changement a plutôt pris place dans sa façon de penser. Il n’a pas besoin de diffuser sa croyance d’un délai dans le retour du Maître. Il vit simplement selon cette croyance et c’est ce qui fait toute la différence.
Ne te demandes-tu pas pourquoi tant d’églises aujourd’hui sont remplies de gens mal préparés, indulgents envers le péché et recherchant leur propres plaisirs ? Ne te demandes-tu pas pourquoi tant de couples chrétiens divorcent à la plus petite provocation ? Ce n’est pas parce que leurs pasteurs leur enseignent à vivre de cette manière. Non, c’est parce que de nombreux bergers ne croient pas que Christ revient dans leur génération. Et le peuple suit simplement le berger.